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L’anglais, votre passeport pour devenir polyglotte

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Commençons par un avertissement : cet article est un peu particulier, dans la mesure où il ne concerne pas uniquement l’anglais, mais aussi toutes les autres langues.

Ce choix peut vous surprendre et c’est bien normal : sur Ispeakspokespoken, vous avez l’habitude de lire des articles consacrés à l’anglais.

Ici, nous l’utiliserons comme point de départ, pour vous aider à maîtriser d’autres langues et devenir polyglotte, en vous basant sur tout ce que vous avez appris grâce à l’anglais.

Devenir polyglotte : de quoi parle-t-on ?

Selon les définitions usuelles, est polyglotte une personne qui maîtrise plusieurs langues à un bon niveau. Ce terme provient du grec ancien πολύγλωττος (polúglōttos), où polú = “plusieurs” et glōttos = “langues”.

Pour la majorité des Français, parler anglais est déjà compliqué, surtout avec notre système scolaire peu propice à l’épanouissement linguistique. Alors d’autres langues… Ne poussons pas trop ! Pourtant, grâce aux articles et vidéos présents sur ce site, vous avez certainement réalisé des progrès considérables en anglais. Peut-être même avez-vous atteint une aisance dont vous n’auriez pas osé rêver quelques mois auparavant.

A présent, si je vous disais que vous pouvez profiter de tout ce temps passé sur votre anglais, pour vous mettre à une nouvelle langue, bien plus facilement ? C’est d’ailleurs l’un des avantages de devenir polyglotte : plus on apprend de langues, plus il devient simple d’en apprendre.

C’est grâce à ces connaissances acquises au fil des années que certaines personnes arrivent à parler couramment quatre, sept voire une dizaine de langues.

Grâce à l’anglais, vous avez appris à apprendre les langues

En développant vos connaissances en anglais, vous avez, sans même vous en apercevoir, développé une compétence tout aussi précieuse : vous avez appris à apprendre l’anglais.

En mémorisant du vocabulaire, en travaillant sur la phonétique ou en analysant la grammaire, vous avez développé un “méta-apprentissage”, qui peut être réemployé pour une nouvelle langue, quelle qu’elle soit.

En effet, qu’il s’agisse de l’espagnol, du russe ou encore du chinois, vous aurez besoin de mémoriser du vocabulaire, de travailler sur la phonétique et d’analyser la grammaire. Les connaissances à acquérir sont bien évidemment différentes, mais la méthode pour les assimiler est inchangée.

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Constatez le chemin parcouru

Lorsque vous vous êtes (re)mis à l’anglais, il est probable que vous l’ayez fait avec une assurance limitée. Peut-être n’aviez-vous jamais réussi à le parler par le passé, l’école ne vous a pas beaucoup aidé et vous vous êtes longtemps senti frustré par votre incapacité à vous exprimer.

A présent que vous avez atteint un niveau honorable, voire un bon niveau en fonction de votre avancement, vous pouvez jeter un regard en arrière, sur le chemin que vous avez parcouru. Et vous admettrez sans mal qu’il s’agit d’un sacré chemin : vous avez pris confiance en vous et en vos capacités et vous vous êtes prouvé que vous en étiez en mesure d’ajouter une nouvelle langue à votre répertoire.

Cerise sur le gâteau, vous avez appris la langue la plus parlée au monde (par nombre total de locuteurs). Vous avez déjà entre les mains un sacré passeport pour voyager, vous faire des amis à l’étranger, vivre ou encore travailler dans un pays anglophone.

Fort de ce premier succès, vous pouvez vous permettre d’être encore plus ambitieux.

Une compétence réutilisable à l’infini

Si l’envie vous prend d’attaquer une nouvelle langue, vous constaterez vite que le démarrage sera beaucoup plus rapide qu’il ne l’a été pour l’anglais. C’est bien normal : maintenant que vous êtes plus aguerri et surtout que vous savez travailler pour apprendre une langue, vous avez une autoroute devant vous pour devenir polyglotte.

Toutes les activités que vous avez mises en place pour l’anglais, il vous suffit de les adapter aux particularités de votre deuxième langue, puis de passer à l’action.

Vous avez commencé à apprendre de nouvelles langues… sans vous en rendre compte !

Cette affirmation peut sembler exagérée, elle est pourtant vraie : certains éléments de l’anglais que vous avez découverts existent dans d’autres langues. En d’autres termes, félicitations : vous vous êtes mâché le travail pour la suite !

Dans les prochains paragraphes, vous réaliserez que vous êtes déjà plus polyglotte que vous ne l’imaginiez.

Les transferts depuis l’anglais, pour devenir polyglotte plus rapidement

S’il devient de plus en plus facile de parler de nouvelles langues au fur et à mesure qu’on en apprend, c’est parce que le nombre d’informations et de concepts inconnus diminue au fur et à mesure. Lorsque vous vous êtes mis à l’anglais, absolument tout restait à découvrir. Vous êtes désormais plus avancé.

Passons en revue les différents éléments pouvant être transférés depuis l’anglais.

Vocabulaire, grammaire, prononciation : de l’anglais dans toutes les langues

Je ne vous apprendrai pas grand-chose en vous disant que l’anglais est la langue internationale par excellence. Sous l’influence du soft power américain et, dans une moindre mesure, britannique, il est entré dans le vocabulaire d’une grande partie des langues de la planète.

Le pouvoir des anglicismes

On pourra bien sûr regretter cette profusion d’anglicismes et chercher à connaître le “vrai mot” plutôt que celui d’emprunt. Mais dans de nombreux cas, c’est le terme anglais qui est le plus usité. Donc si vous souhaitez parler comme un locuteur natif, profitez de ce lexique que vous connaissez déjà.

Prenons le vocabulaire de l’informatique. Savez-vous comment dire “l’ordinateur” en italien ? Il computer. Eh oui ! La souris ? Il mouse. L’e-mail ? La mail. L’écran ? Lo schermo. Bon, on ne peut pas gagner à tous les coups !

En fonction des langues, les termes anglais sont parfois repris tels quels, ou peuvent subir des modifications plus ou moins importantes.

Voici un exemple avec le mot team (équipe) dans quatre autres langues. Au passage, il est largement employé en français contemporain.

LangueAllemandFinnoisItalienJaponais
 das Teamtiimiil teamチーム (chīmu)

Vous l’aurez compris : en ayant appris un mot en anglais, vous le connaissez déjà dans quatre nouvelles langues. Avec la mondialisation, devenir polyglotte n’a jamais été aussi aisé.

Bien sûr, cette gymnastique n’est pas toujours possible et il existe (presque) toujours un terme propre à la langue, que vous devrez apprendre un jour ou l’autre. Reste que, pour le langage oral ou pour les termes techniques, une solide connaissance de l’anglais vous rendra d’immenses services.

Une langue germanique

L’un des secrets pour devenir polyglotte rapidement consiste à apprendre plusieurs langues d’une même famille, comme l’espagnol, l’italien et le portugais pour les langues latines. Sauf bien sûr si vous préférez des langues très différentes les unes des autres, comme je l’ai fait avec le finnois ou le japonais.

L’anglais ne fait pas exception et appartient au groupe des langues germaniques. Il vous sera donc très utile si vous décidez de vous initier à un autre membre de cette famille.

L’anglais vous permet d’apprendre facilement plus de six langues (source : Wikipédia).

Si des langues comme l’allemand, le néerlandais, le danois ou le suédois vous tentent, vous retrouverez un certain nombre de racines déjà connues. La mémorisation du vocabulaire n’en sera que plus rapide.

Voici quelques termes très semblables, dans six langues germaniques :

AnglaisAllemandNéerlandaisDanoisSuédoisNorvégien (bokmål)
to have
(avoir)
habenhebbenhavehaha
to come
(venir)
kommenkomenkommekommakome
father
(père)
Vatervaderfaderfader, farfader, far
apple
(pomme)
Apfelappelæbleäppleeple
winter
(hiver)
Winterwintervintervintervinter

Cette proximité dans le vocabulaire vous placera en terrain connu, vous prendrez vos marques sans problème.

Le bon côté de la phonétique anglaise

Cela ne vous aura pas échappé : la phonétique anglaise est loin d’être de tout repos. Avec un nombre conséquent de sons n’existant pas en français, qu’il faut donc apprendre à bien entendre et à prononcer, elle impose un travail de longue haleine.

Ce travail est cependant vite récompensé : l’anglais a pour avantage de présenter une large palette de sons, dont certains se retrouvent dans d’autres langues. Encore un raccourci précieux pour devenir polyglotte.

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Les sons de l’anglais présents ailleurs

Voici une sélection de sons anglais (consonnes et voyelles) qui n’existent pas en français standard (parfois présents dans certains dialectes), mais que l’on retrouve dans d’autres langues.

Consonnes
SonExemple en anglaisQuelques langues où le son est présent
h
(h aspiré)
hat (/hæt/)danois, finnois, hébreu, hongrois, japonais, roumain, turc…
θ
(th “dur”)
thick (/θɪk/)albanais, arabe, espagnol (d’Espagne), grec moderne, islandais…
ð
(th “doux”)
then (/ðɛn/)albanais, arabe, grec moderne, same du nord, tamoul…
ŋ
(ng)
king (/kɪŋ/)cantonais, coréen, irlandais, luxembourgeois, mandarin, vietnamien…
ɹ
(r)
red (/ɹɛd/)assamais, féroïen, igbo, islandais, persan, thaï…
Voyelles
SonExemple en anglaisQuelques langues où le son est présent
ɪbit (/bɪt/)allemand, gallois, hongrois, slovaque, tchèque, turc…
æfat (/fæt/)arabe, finnois, lituanien, persan, russe, singhalais…
ɑspa (/spɑ/)arménien, azéri, estonien, mandarin, néerlandais, ukrainien…
ɜbird (/bɝd/)haoussa, paicî, roumain, sindhi, temné, yiddish…
ʌnut (/nʌt/)coréen, népalais, tamoul…
ʊhook (/hʊk/)allemand, hindi, hongrois, mandarin, shanghaïen, slovaque…

Cette liste est (très) incomplète : il manque énormément de langues, voire de dialectes régionaux pour certaines d’entre elles. Vous aurez moins pu prendre conscience de l’immense avantage dont vous disposez en maîtrisant la phonétique anglaise.

Il vous faudra certes apprendre d’autres sonorités nouvelles, qui n’existent ni en français ni en anglais, mais une bonne partie du travail est déjà faite en amont.

L’accent tonique

L’accent tonique est une autre composante majeure de la prononciation anglaise, qui donne des cheveux blancs aux francophones. Si vous avez pris l’habitude d’accentuer correctement les mots, votre patience sera une fois de plus récompensée.

Ainsi, l’accent tonique est présent dans l’immense majorité des langues européennes (latines, germaniques, slaves, finno-ougriennes…) et dans d’autres familles extra-européennes, comme les langues turques.

De plus, dans certaines langues, l’accent tonique est fixe, ce qui élimine le risque d’erreur. Par exemple, il se trouve sur la première syllabe en hongrois, en finnois ou en tchèque, sur l’avant-dernière syllabe en polonais (sauf quelques exceptions) et sur la dernière syllabe en turc. Si d’autres langues, comme le russe, possèdent une accentuation plus complexe, l’anglais vous aura dans tous les cas fourni un réflexe précieux.

La grammaire anglaise : utile pour d’autres langues

La grammaire de l’anglais vous aidera elle aussi à devenir polyglotte. Nous ne nous lancerons pas dans une analyse comparée avec d’autres langues, quelques exemples concrets suffiront amplement.

Les verbes irréguliers

Le premier qui me vient en tête concerne les verbes irréguliers. L’anglais est loin d’être la seule langue qui en comporte, mais si vous apprenez l’allemand, certaines conjugaisons sont très similaires.

Voici quelques verbes comparables, en anglais puis en allemand :

Venirto comekommen
 come, came, comekommt, kam, gekommen
Chanterto singsingen
 sing, sang, sungsingt, sang, gesungen
Bondirto springspringen
 spring, sprang, sprungspringt, sprang, gesprungen

L’équivalence n’existe pas toujours, mais c’est un exemple de pont très pratique entre deux langues. Cette pratique se transformera vite en automatisme lorsque vous commencerez à devenir polyglotte.

Le do-support

Un autre détail propre à l’anglais et qui m’a bien rendu service est l’auxiliaire do, aussi appelé do-support. Il sert notamment à former la négation (you don’t want) et à poser des questions (do you want?). Ce mécanisme propre à l’anglais, a de quoi dérouter.

Pourtant, sa logique m’a par exemple permis de comprendre le fonctionnement du verbe ei en finnois, une sorte d’auxiliaire négatif. Un peu comme avec le do-support anglais, le ei s’ajoute devant le verbe pour dire “ne… pas…” et se conjugue à sa place :

en haluaje ne veux pas
et haluatu ne veux pas
ei haluail / elle ne veut pas
emme haluanous ne voulons pas
ette haluavous ne voulez pas
eivät haluails / elles ne veulent pas

Peut-on en conclure que l’anglais et le finnois sont apparentés ? Pas du tout : ils appartiennent à deux familles complètement différentes, indo-européenne pour l’anglais et finno-ougrienne pour le finnois. Il s’agit simplement d’un exemple de déclic que j’ai pu avoir dans une nouvelle langue, grâce à ma maîtrise préalable de l’anglais.

Vous-même, dans votre parcours pour devenir polyglotte, vous aurez régulièrement ce genre de déclics, en vous basant sur vos connaissances soit de l’anglais, soit des autres langues que vous aurez eu l’occasion de dompter. C’est précisément pour cette raison que le processus devient de plus en plus simple avec l’expérience.

Mieux comprendre la grammaire des langues, grâce à l’anglais

En apprenant l’anglais, vous avez accepté de franchir un cap, qui consiste à cesser de penser vos phrases comme vous le faisiez en français, pour les aborder de manière totalement neuve.

Croyez-moi, nombre d’apprenants refusent de le faire, concluent que la grammaire anglaise est “stupide” et ne font aucun effort supplémentaire pour l’assimiler. Ils finissent invariablement par produire des phrases “à la française”, difficilement compréhensibles pour des anglophones.

Cette plasticité sera un atout de taille pour devenir polyglotte. Elle vous aidera à aborder sereinement la grammaire de n’importe quelle langue, même si elle diffère sensiblement du français et même de l’anglais.

Devenir polyglotte, une langue après l’autre

A quel moment démarrer votre nouveau projet ?

A la lecture de cet article, peut-être avez-vous envie de vous lancer dans une nouvelle langue, mais vous vous demandez si c’est le bon moment. Alors voici mon conseil pour faire le bon choix : si vous pensez avoir atteint un niveau suffisant en anglais, vous pouvez envisager d’aborder une nouvelle langue. Je recommande au minimum un niveau B1 solide, voire un niveau B2 si vous voulez être plus à l’aise.

En dessous de ce plancher, vous risquez de vous mélanger les pinceaux. Mieux vaut dans ce cas remettre cet apprentissage à plus tard, pour vous concentrer pleinement sur l’anglais. Les langues sont un jeu de patience, qui récompense les plus persévérants, inutile donc de vous précipiter. Comme disaient les Romains, festina lente (“hâte-toi lentement”).

Quelle langue choisir ?

L’aspect le plus enthousiasmant, quand on ambitionne de devenir polyglotte, est la diversité de langues à apprendre… qui peut vite se transformer en véritable embarras du choix. Dur de savoir où donner de la tête parmi les quelque 7 000 langues parlées sur Terre.

Voici une nouvelle règle simple : apprenez la langue qui vous plaît le plus et oubliez tout le reste. Laissez tomber les injonctions, les on-dit et surtout les listes de “langues les plus utiles”, qui sont toutes, sans exception, inutiles. Si vous avez un intérêt pour un pays ou une culture en particulier, si vous avez des proches à l’étranger ou tout simplement si vous aimez la musicalité d’une langue, optez pour cette dernière.

Et si jamais des personnes de votre entourage critiquent votre choix, ou vous disent que “ça ne sert à rien”, ne laissez pas ces jugements vous atteindre. Il n’existe pas de langue inutile, uniquement des gens qui donnent leur avis sans savoir de quoi ils parlent.

De la même manière, ne renoncez jamais à une langue car elle est réputée difficile et ne vous forcez jamais à en apprendre une parce qu’elle est soi-disant simple.

D’ailleurs, mettons fin à une idée reçue très répandue : l’anglais est tout sauf simple, comme le démontre Adrien dans cet article. Vous y frotter vous a déjà conféré une sacrée expérience, largement suffisante pour vous frotter même à une langue réputée “difficile”.

Vous avez déjà fait le plus dur

Après avoir appris l’anglais, vous avez toutes les cartes en main pour devenir polyglotte. Même si cette première expérience vous a semblé un peu rude, vous serez surpris par les progrès rapides que vous ferez dans les prochaines semaines.

Alors, quelle sera votre prochaine langue ? Dites-le-nous dans les commentaires !

Si l’apprentissage efficace vous intéresse, vous pouvez me retrouver sur mes sites, Le Monde des Langues, qui porte sur toutes les langues, et Ganbare, entièrement consacré au japonais.

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Adrien Jourdan ISpeakSpokeSpoken

Ce cours d'anglais a été créé par Adrien

Diplômé d’une licence de langues étrangères en anglais et allemand, polyglotte (français, anglais, russe et allemand), Adrien a créé plus de 1500 cours d'anglais accessibles sur la chaîne YouTube de ISpeakSpokeSpoken.

Ses formations en e-learning comme Parlez Anglais en 60 Jours ont déjà été suivies par plus de 10 000 étudiants. Sa philosophie ? Tout le monde peut parler anglais à l'aide d'un bon formateur, un fil conducteur et l’occasion de pratiquer.

C’est pourquoi, il consacre la plus grande partie de ses journées depuis 2016 à développer la communauté et le contenu ISpeakSpokeSpoken. Que ça soit la leçon que vous venez de lire, une vidéo de la chaîne YouTube, une formation en e-learning ou encore l’Académie ISpeakSpokeSpoken vous avez toutes les cartes en main pour parler anglais !

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